C’est la faute à Le Corbusier ?

Avec

Catherine Chevallier – Géraldine Meyer (architecte)
Claudine Fiévet – Madame le Maire
Valérie Da Mota – Nathalie (documentariste)
Ruth M’Balanda – Sarah (étudiante en architecture et chanteuse)
Jean-Pierre Hutinet – Alberto Costa (gardien)
Jean-Luc Paliès – Edouard Corbin (architecte)
Carel Cléril – Rey (musicien)
Emilien Gillan – Greg (musicien)
Jean-Baptiste Paliès – Sam (musicien)

Et à l’image

Véronique Daniel – Myriam Derbal – Anahita Gohari
Mandine Guillaume – Christina Rosmini – Hélène Vauquois
Frédéric Andrau – Marc Brunet – Enrico Di Giovanni
Thierry Heckendorn – Richard Martin – Philippe Risler

Mise en scène : Jean-Luc Paliès
Texte : Louise Doutreligne
Régie générale : Alain Clément
Assistante régie/vidéo : Laura Verveur
Images : Nadira Annan
Sculptures : Odile O
Scénographie : Lucas Jimenez
Développeur vidéo : Nicolas Barraud / Toys for Theater
Costumes : Madeleine Nys
Administration : Lilian Josse
Communication/Graphisme : Cécile Abescat
Diffusion/Publics : Murielle Lantignac

Production Influenscènes
Coproduction Fontenay-en-Scènes et Théâtre de Saint-Maur

Teaser de la pièce

Vidéo intégrale de la pièce ⬇️ 
https://youtu.be/sQ7It8ZTuJI
Matière texte

Après plusieurs années de plongée, en apnée, dans une ville de la banlieue est, Fontenay-sous-Bois ; après un voyage initiatique sur les sites construits par l’architecte suisse à travers toute la France ; après la vision concrète de l’écart entre la France et le Brésil lors d’un récent voyage, « C’est la faute à Le Corbusier ? » se présente comme un travail d’écriture en écoute et vision, en ouverture sur le monde et les autres, pour tenter de témoigner d’un état des lieux, certes par définition provisoire et peut-être au final porteur d’espoir .
Qu’en est-il de nos cités, de nos barres, de nos villes à la campagne, de nos campagnes suspendues dans les tours, de nos jardins de ville partagés, du rêve individualiste de la maison avec « bout de jardin » du logement collectif, de l’extension, de la re-densification ? L’extension sans fin des villes est-elle envisageable ?
L’architecture et l’urbanisme peuvent-ils être les vecteurs d’une transformation sociale profonde ? L’allure, le culot, l’apparence, le clinquant vont-ils prendre le pas sur le travail en profondeur dans et sur l’identité des lieux, disséminant sur la surface de la terre, une architecture-spectacle, sorte de créations ex-nihilo détachées de toutes préoccupations sociales et culturelles ?
Le texte C’est la faute à Le Corbusier ?, dans une tentative de dialectique joyeuse et légère, rend compte de tous ces questionnements.
– Louise Doutreligne –

Note d’intention du metteur en scène

Une mise en Scène en « Trouble-lignes » pour un partage de rêves…
Objectif premier : faire entendre le foisonnement des points de vue.
Mettre en place un dispositif utilisant les outils du théâtre (pervertis par ceux de cinéma) pour superposer et déjouer les protocoles, les dialogues (utilisation fréquente par exemple du champ/contrechamp et du gros plan…), les temps (retours arrière ou avant), le réel et le virtuel, les témoignages « vrais », les fictions et ses frictions…
L’espace évoquera le « réalisme » de la situation de départ (un local au pied des tours…) mais assumera aussi l’apparition des autres espaces, des autres temps dont il sera question pour chaque personnage.
Perturbation : bouger les lignes, les fausses perspectives… obliger les regards à croiser l’autre, à accepter d’écouter les différentes voix. Le séquençage de l’espace et du temps, les flash-back, la simultanéité des propos et la superposition des réactions construiront une « architecture théâtrale » originale faite des résonances, des correspondances, des convergences des points de vue de personnages dessinés par Louise Doutreligne.
Comme dans une performance, ou un laboratoire, on tentera de rapprocher les spectateurs de ces conduites humaines qui font que des hommes et des femmes vivent leurs vies ensemble dans des pensées, des concepts, des utopies imaginés par d’autres humains… Il s’agira donc d’un partage de la pensée, des émotions, des questions et surtout des rêves…
– Jean-Luc Paliès –

C’est la faute à Le Corbusier ?  a été créé avec le soutien de :

  • La DRAC Île-de-France
  • Le Ministère de la Culture et de la Communication,
  • La Région Île-de-France
  • Le Conseil Général du Val-de-Marne
  • La ville de Fontenay-sous-Bois – Projet soutenu au titre de la PAC / Région Île-de-France
    Le Spectacle a reçu :
    – l’Aide de l’ADAMI – Copie Privée
    – l’Aide de la SPEDIDAM
    – l’Aide à la création du Conseil Général du Val-de-Marne Coproduction Fontenay-en-Scènes et Théâtre de Saint-Maur
    Résidences d’écriture : Sao Paulo et Brasilia / Lavoir Théâtre Menton
    Résidences de création : Théâtre de Saint-Maur et Salle Jacques Brel de Fontenay-sous-Bois

TELECHARGER ICI – Dossier de PRESSE – C’est la faute à Le Corbusier

TELECHARGER ICI – Revue de presse C’est la faute à Le Corbusier – 2014

TELECHARGER ICI – Dossier pédagogique C’est la faute à Le Corbusier

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